LE MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE DE PARIS
La grande galerie de l'évolution

Une tranche d'un grand tronc d'arbre (un chêne de 300 ans) était exposée devant l'entrée du musée.
Pour rentrer dans la grande salle de l'évolution, on devait passer notre ticket dans une machine puis pousser une barre tournante.
A l'entrée, un squelette de baleine était exposé.
On voyait très bien les fanons. Les os étaient énormes mais ce qui restait des membres inférieurs était tout petit : tous les mammifères ont quatre membres, mais sur le squelette de la baleine on voit que, dans l'eau, ses membres arrières ne lui servaient à rien et sont devenus deux petits os.
Dans la grande salle, nous avons visité les 4 étages.
Le sous-sol parlait des fonds marins, le rez-de-chaussée et le 1er étage des animaux terrestres, et le 2ème des oiseaux et des problèmes d'environnement.
Tout ce qu'on voyait concernait l'évolution des êtres vivants.
Les savants ont fait de nombreuses recherches pour retrouver toutes les espèces d'animaux et de plantes qu'on trouve sur la terre.


Nous avons appris qu'un animal terrestre est devenu marin : l'ancêtre des baleines et des dauphins.
Les mammifères marins ont la nageoire caudale horizontale alors que chez les poissons, elle est verticale.
En observant l'intérieur des cellules d'une mouche et d'une souris, des savants on trouvé qu'elles avaient le même ancêtre, il y a 600 millions d'années, qui a évolué pour donner aujourd'hui la mouche et la souris.
Tous les mammifères, que ce soit la girafe, la souris ou l'homme, ont sept vertèbres cervicales.
Chez la baleine deux sont soudées.




Beaucoup de mammifères vivent sur la terre, ils ont évolué différemment, nous en sommes un exemple.
Au rez-de-chaussée, il y avait tous les animaux de la savane africaine : des éléphants, les antilopes, des girafes, des sangliers… qui étaient empaillés : il n'y avait que la peau qui était vraie.
Monsieur a raconté qu'il avait essayé un jour de chasser un koba (c'est une antilope) en Afrique, mais comme ce koba était vieux et malin, il lui a échappé grâce à un peu de ruse.
On n'avait pas le droit de faire des photos et de toucher aux animaux parce que si toutes les personnes qui viennent les touchaient, ils seraient détruits en quelques jours.
Des surveillants faisaient très attention et tout le musée était surveillé par des caméras.
Des collections d'insectes, étaient exposées dans des vitrines mais elles étaient sales (les vitrines bien sûr).
Certains insectes devaient être là depuis longtemps.
Dans d'autres vitrines on pouvait voir toutes sortes de coquillages, certains s'appelaient sept-doigts, d'autres s'appelaient porcelaines.
Dans le sous-sol, nous avons vu une statue de calmar géant.
Il y avait aussi une tortue géante sans carapace.
Le chat sauvage et les requins faisaient peur.
De petits ordinateurs tactiles, où on pouvait faire des jeux, étaient disposés un peu partout, des fiches de lecture pour ceux qui voulait en savoir plus et des vidéos expliquaient bien tout ce qui était exposé.
Il y avait beaucoup d'enfants ; ils se mettaient devant les objets, les touchaient, ils faisaient beaucoup de bruit.